L’université Nazi BONI a procédé à une signature de convention avec l’ABMAQ (l’Association Burkinabé pour le Management de la qualité) ce mercredi 29 juillet 2020 au centre de formation et de recherche de Bobo- Dioulasso, sous la présidence du Pr Macaire Ouédraogo, président de ladite université. Cet acte souligne-t-il, s’inscrit dans la dynamique de l’université Nazi BONI dans la quête de l’excellence et d’une accréditation ISO, d’ici à 2023.
L’université Nazi BONI selon les propos de son premier responsable, le Pr Macaire Ouédraogo, a une vision d’excellence qu’il faut atteindre si l’institution veut prétendre à une accréditation et l’excellence, dit-il, a des exigences.
Pour mettre toutes les chances de son côté, l’université Nazi BONI met tous les moyens, matériels ou humains, en place afin d’atteindre ses objectifs, se référant aux propos du président de l’UNB.
La preuve ; l’implantation d’un centre d’excellence africain pour l’amélioration de la qualité de l’enseignement au sein de l’UNB, renchérie-t-il.
La signature ce jour, d’une convention avec l’ABMAQ, s’inscrit donc dans cette dynamique, car cette association d’après le Pr Macaire Ouédraogo a une « grande » expérience dans le domaine du management de la qualité qui va profiter à l’UNB dans sa quête de l’excellence.
Une quête qui ne peut aboutir, à en croire les propos de Ousseni Ouédraogo, secrétaire permanent de l’ABMAQ, sans passer par la démarche qualité.
Et au regard de l’engagement dont fait preuve l’université Nazi BONI, Ousseni Ouédraogo dit ne pas avoir de doute quant à la réussite de cette collaboration qui par ricochet, devrait positivement impacter l’UNB dans sa démarche vers l’excellence et une accréditation.
Par ailleurs, la signature de cette convention, marque le début d’une collaboration, comme l’a précisé le secrétaire permanent de l’ABMAQ entre sa structure et l’UNB, sur une durée de 3 ans, reconductible.
La signature d’une telle convention également entre l’ABMAQ et une institution universitaire de surcroît, publique, est une première martèle Alexandre Sanfo, président de l’ABMAQ.
Abdoul-Karim E. Sanon