Le secrétaire général de la Semaine nationale de la culture (SNC), Lanssa Moïse Kohoun, a procédé au lancement officiel des travaux de l’élaboration de la stratégie de communication de la Semaine Nationale de la Culture (SNC). C’était dans la matinée du lundi 05 mai 2025 à la maison de la culture de Bobo Dioulasso.
Identifier les besoins et les objectifs de communication de la Semaine nationale de la culture (SNC) en vue de concevoir une stratégie cohérente accompagnée d’un plan triennale de mise en œuvre ; renforcer la visibilité de la SNC ; valoriser ses actions ; mobiliser les parties prenantes et établir une relation de confiance avec les partenaires sont entre autres les objectifs de l’élaboration de la stratégie de communication de la SNC.
Selon les premiers responsables de la SNC, les participants, au cours des travaux, analyseront en profondeur les enjeux de communication de la SNC afin de formuler des propositions concrètes et adaptées aux ambitions de l’institution.

Pour le secrétaire général de la Semaine Nationale de la Culture (SNC), Lanssa Moïse Kohoun, l’élaboration de ce plan stratégique de communication s’inscrit dans la volonté des autorités de renforcer l’efficacité institutionnelle de la SNC. « Pour une structure comme la SNC, il est important qu’elle dispose d’outils qui favorisent son bon fonctionnement. On a, dans un premier temps, élaboré le plan stratégique de développement de la SNC et son plan d’action. Ensuite s’en est suivi le manuel de procédure. Au regard de la place qu’occupe la SNC dans la valorisation de la culture burkinabè, il était grand temps que nous définissons des axes stratégiques qui donneront une bonne image de la SNC auprès des partenaires et des publics cibles », Lanssa Moïse Kohoun explique-t-il la pertinence de l’élaboration d’une stratégie de communication pour l’institution.

La principale mission de la SNC est, selon lui, la valorisation du patrimoine culturel national. Et il faut savoir, poursuit-il, « que la SNC en fusion avec la Maison de la culture est devenue une institution en plus de l’événement. Il s’agit donc d’élaborer des plans de communication institutionnels et événementiels afin de mobiliser l’ensemble des burkinabè et tous ceux qui sont hors du pays ».
Lanssa Moïse Kohoun n’a pas manqué de saluer l’engagement des membres du comité et des autres participants tout en soulignant l’importance de la réflexion collective.
Leïla Korotimi Koté/ Ouest Info