Il se tient à l’Université Nazi Boni de Bobo-Dioulasso les 20 et 21 septembre 2021, la conférence des présidents, recteurs et directeurs généraux des institutions de l’enseignement supérieur et de la recherche. La cérémonie d’ouverture de cette rencontre a eu lieu ce lundi 20 septembre 2021. C’était en présence du ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation, Professeur Alkassoum Maïga ; d’une importante communauté universitaire et de nombreuses autres autorités.
3ème du genre sous la houlette de l’actuel ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation Professeur Alkassoum Maïga, la conférence 2021 des présidents, recteurs et directeurs généraux des institutions de l’enseignement supérieur et de la recherche se tient à Bobo-Dioulasso les 20 et 21 septembre.
Dans son discours d’ouverture, le ministre a relevé le bien-fondé de cet exercice. Pour lui, cette rencontre permet à la communauté universitaire de diagnostiquer les difficultés de l’enseignement supérieur et de la recherche. Et l’objectif est de parvenir à des solutions pour améliorer davantage la qualité de cet ordre d’enseignement.
Pour cette édition, le ministre Alkassoum Maïga a invité les acteurs à une réflexion sur l’harmonisation des pratiques des différentes universités publiques. Pour cela, il a souhaité de la part des responsables de ces universités, une application rigoureuse des textes et une gestion rationnelle des ressources disponibles. Dans cette optique, il espère de cette rencontre des recommandations de qualité pour aborder l’année académique 2021 avec de belles perspectives.
Prenant la parole, le président de l’Université Nazi Boni de Bobo-Dioulasso, Professeur Macaire Ouédraogo s’est d’abord réjoui du choix de son université pour abriter cette rencontre de haut niveau.
Il s’est ensuite montré très enthousiaste de ce cadre d’échanges entre responsable de l’enseignement supérieur et de la recherche car selon lui, c’est par ces canaux que l’on peut aplanir les difficultés du monde universitaire et tendre vers une harmonisation des pratiques.
Il a ainsi invité ses pairs à une participation active aux échanges pour des solutions qui puissent permettre d’accroitre l’excellence universitaire au Burkina Faso
Abdoulaye Tiénon/Ouest-info.net