La deuxième édition du festival des stars (Festistar) se tiendra du 31 mai au 02 juin 2024 à Bobo-Dioulasso. C’est le comité d’organisation qui l’a annoncé au cours d’une conférence de presse animée dans la matinée de ce samedi 25 mai 2024 à Bobo-Dioulasso.
« Coalition pour le retour de la paix au Burkina Faso ». C’est sous ce thème que se tiendra à Bobo-Dioulasso du 31 mai au 02 juin prochain, la 2ème édition du festival des stars, Festistars.
C’est après le succès de la première édition en 2023 que le comité d’organisation a décidé de rebeloter en organisant la 2ème édition de ce festival qui a pour objectif, de valoriser les talents des artistes qui sont méconnus du grand public. « Festistar est un festival qui permet aux jeunes talents de valoriser et de promouvoir leurs savoir-faire. Faire d’eux des stars de demain est notre vision », a expliqué le commissaire général du festistar, Wendlasida Singuita.
Au cours du festival, il s’agira selon lui, d’accompagner les artistes en leur permettant de faire des prestations, de rencontrer des producteurs et des arrangeurs, et de travailler sur leurs textes.
Ainsi, pendant trois (03) jours, ce sont plus d’une vingtaine d’artistes, de toutes catégories confondues venus de plusieurs localités du Burkina Faso, qui animerons ce festival à travers des concerts live, des playbacks et des partages d’expériences.
Pour les organisateurs, cette édition 2024 connais plusieurs innovations majeures. « Cette année, nous avons eu l’accompagnement de nouveaux partenaires. Outre les stands réservés à la gastronomie, d’autres stands seront mis à disposition des partenaires et des entreprises intéressées. Il y aura également des stands pour les hommes d’affaires et les opérateurs économiques pour des échanges B to B et deux motos à gagner aux jeux tombola », a laissé entendre Wendlasida Singuita sur les innovations majeures de la deuxième édition.
L’accès à la maison de la culture où aura lieu l’évènement est conditionnée selon les organisateurs, par des tickets et des badges de 1000f, 2000f et 5000f.
Leïla Korotimi Koté/Ouest Info