
La Direction de la Promotion des Industries Culturelles et créatives du Burkina Faso a tenu du 18 au 21 décembre 2018 une séance de travail à la maison de la culture de Bobo-Dioulasso. Cette activité de la DPICC a pour objectif, la rédaction d’un document qui va servir de référentiel à la promotion des produits culturels burkinabè à l’international.
Durant quatre jours, des acteurs culturels du Burkina ont échangé autour des questions relatives à la promotion des produits culturels Burkinabè.
Au nombre de 12, ces acteurs du monde de la culture ont planché sur la rédaction d’un référentiel de la stratégie de la promotion des produits culturels burkinabè à l’international.
Selon le directeur de la promotion des industries culturelles et créatives, Adirma Traoré, l’activité concerne des grands axes tels que le suivi des actions qui peuvent être menées pour la promotion de la culture burkinabè.
Il s’est agi aussi pour ces acteurs culturels de se pencher sur la gouvernance culturelle au Burkina. Il a été question également de voir des actions qui sont entreprises du point de vue politique et des insuffisances qui sont constatées.
Les grandes lignes de cette activité ont concerné les produits de marchés, les questions de ressources humaines, les infrastructures, les défis et les enjeux de la culture burkinabè.
Le document final de cette activité, une boussole pour la DPICC

Le document qui sera finalisé au terme de cette activité sera selon la DPICC, le référentiel qui permettra véritablement d’orienter tous ceux qui voudront entreprendre des activités culturelles à l’international.
L’idée pour la DPICC est de donner une grande visibilité aux acteurs culturels burkinabè et ceux de la diaspora pour qu’ils mènent « des activités assez objectives et plus fructueuses au niveau international. »
Cette activité de la DPICC est un diagnostic, afin de trouver les éléments nécessaires pour pouvoir palier aux maux qui seront décelés.
Sotouo Justin Dabiré